Le processus de Varsovie favorise la stabilité dans le cyberespace

Dave Reynolds - Share America

Les États-Unis et d’autres pays s’emploient à contrer les menaces croissantes à la cybersécurité dans le cadre d’un vaste chantier visant à améliorer la paix et la sécurité au Moyen-Orient.

Les représentants de plus de 40 pays ont réuni un groupe de travail sur la cybersécurité les 7 et 8 octobre à Séoul, en Corée du Sud, pour discuter de stratégies capables de décourager les cyberattaques et d’y riposter plus efficacement.

Le groupe de travail s’insère dans le processus de Varsovie, dirigé par les États-Unis et la Pologne, qui vise à faire face aux menaces actuelles au Moyen-Orient et à apporter la prospérité à la région.

Le gouvernement Trump a appelé le régime iranien à mettre fin à ses cyberattaques. C’est l’une des 12 conditions imposées par le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, pour la levée des sanctions économiques contre le régime.

Divers groupes de travail du processus de Varsovie ont commencé à se réunir ce mois-ci pour s’attaquer à des priorités stratégiques communes. Outre la République de Corée qui accueille le groupe de travail sur la cybersécurité, d’autres pays se pencheront sur les dossiers suivants :

Les États-Unis accueilleront le groupe de travail sur les droits de l’Homme.

Le Royaume de Bahreïn accueillera le groupe de travail sur la sécurité maritime et aérienne.

La République de Pologne accueillera le groupe de travail sur la sécurité énergétique.

La Roumanie accueillera le groupe de travail sur la prolifération des missiles.

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