Le populisme ne doit pas passer

Je ne sais pas si la chance sera de notre côté d’avoir un nouveau de l’autre côté de l’Océan.

Il n’a pas grand-chose de bien intéressant surtout pas son programme.

Toutefois, il promet de revenir à l’Oms et Cop21, ce qui est bon signe.

Il a l’air de vouloir continuer dans le sens du président dont il était vice, ce qui ira bien pour la bonne santé de millions de gens.

De plus, et c’est peut-être là le plus important : il a pour vice président une Vice-Présidente.

C’est tout à son honneur et une sacré avancée pour tout le monde en toute égalité ! Mais, en est-il de même dans notre si belle patrie lorsque les élus de la majorité concoctent un projet de loi aux petits oignons de restrictions de nos libertés.

Bien sur, c’est sous couvert de se protéger contre les actes de terrorisme.

Bien, il est confirmé que les journalistes pourront toujours travailler.

Mais empêcher de faire voir les violences policières sur les réseaux sociaux est un début sans fin d’un certain totalitarisme.

Il est ainsi prévu  de « sanctionner que les actions malveillantes » vis à vis de ceux qui publieraient des photos et vidéos de force de l’ordre en plein travail.

Ils ont la force légale de l’employer.

Mais cette force ne doit pas être disproportionnée.

Est-ce à la victime de devoir toujours prouver qu’elle l’est ou n’est-ce pas normal que ce soit le professionnel auteur de la violence étatique légale d’en prouver le contraire.

Serait-ce trop demander à ces hommes qui ont choisi de faire ce métier, et la grande majorité le fait de leur mieux, de faire valoir qu’ils ont bien faits ? Est-ce vraiment un hasard, si grâce à de courageux manifestants, des actes méprisables de violence ont été reconnus comme tels car « jetés à la vindicte populaire » comme ils disent.

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