Le national pour tous

Ce qu’il y a de bien avec les populistes d’extrême droite, qui n‘ont rien à voir avec les gens du peuple – attention au sens des mots – c’est que sans les voir, on les (re)connaît à distances.

A chaque fois, qu’ils interviennent ils arrivent, quelque soit le sujet, à mettre sur la table leur problème avec les étrangers.

Ils ressemblent, en cela, fortement à certains patrons qui ne cessent de parler de la qualité client en omettant de l’appliquer sur le terrain.

Maintenant l’on fait vraiment le n’importe quoi.

Notre grand constructeur national à faire pleurer Billancourt qui n’existe plus, fait fort en la matière.

Il a été décidé de mettre à bas un nouveau log.

En langage marketing bien placé dans les salons huppés, cela fait vivre dans on temps pour le futur la marque.

Bon d’accord, pourquoi pas, il faut bien que les équipes correspondantes puissent manger à leur faim, voire plus si affinités.

Il n’empêche que dans une bonne qui tourne actuellement sur une de leur voiture phare à leds, ledit ressort en tout beau, tout nouveau.

Mais sur le belle mise en vedette, c’est l’ancien logo qui figure.

Langage de sourd à ne rien n’y entendre.

Désolante cette histoire de cantine scolaire dans la capitale des Gaules.

Le lion est privé de viande, sans doute le lion est-il mort ce soir… Si aujourd’hui, la santé est l’essence même de la vie, demain ce sera fée électrique qui en sera le moteur.

Une question est posée de savoir comprendre pourquoi est-ce que les ouvriers, pour ce qu’il en reste, et les pauvres, généralement les mêmes lorsqu’ils travaillent, rejoignent l’extrême droite après avoir franchi la ligne rouge des rangs du parti ancien de gauche.

En fait, ce qui semble réunir les deux engeances, est la haine de l’immigré sublimé par le beau national.

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