La ruse est partout dans les rues encombrés des gens qui passent en dépassant sans regarder autour ce qui les dépassent.
Ils n’arrêtent de fuser dans leurs refus de s’arrêter en si bon chemin d’un incertain qui pourrait être leur avenir prochain.
Si prochain il y avait vraiment de se retrouver ensemble autrement que pour s’enivrer de boire tant, fumer pour d’autres ou d’autres activités ne s’engageant pas trop dans un extérieur de soi-même qui ne le serait que pas trop.
Lacer ses souliers pour ne point caler, cela pour marcher, s’engager, du moins le faire croire que l’on veut aller chercher cette vérité.
Mais en vérité qui le dit vouloir un combat lui permettant de prendre le pouvoir sur l’autre et faire croire au demeurant qu’il sort d’un statut de victime méprisante et que cela suffit.
Le souverain non content d’être prélat siège en son église content de son sort plus grand que celui de ses vassaux désespérant de ne point pouvoir être calife en la place de leur maître et ce quelque soit la (non) religion.
Non content de nous rouler dans la farine, le marseillais qui toujours exagère a en fait pris contact avec l’illuminé pour un entretien bien compris entre petits amis.
Bilan : il laisse ainsi la bride sur le cou de l’extrême droite dont la droite extrême pourra, sans coup férir, tirer bon parti.
A l’un l’on disait qu’il fallait savoir prendre langage selon son auditoire.
Pour lui, aucun rappel nécessaire, c’est d’essence virale qu’il prend pied à dire ce qu’il est à même de comprendre à lui tout seul, et ce pas forcément de la tarte.
Et tout cela, semble-t-il pour la tartuferie des européennes à venir ; bonjour, le panier de crabes.