Le mensonge si je dis vrai

Le Covid-19 nous dévoile plein de petites choses qui existaient exacerbées par sa présence ou plutôt que le brave peuple ne voulait pas voir ou supportait seul dans les oubliettes de la vie quotidienne.

Mais peu importe, elles sont et personne ne pourra dire je n’ai rien vu je n’ai rien entendu, donc je ne pouvais rein dire pour ne pas singer ce serait bête.

D’un côté, il y a les méchants délateurs prêt à discriminer l’autre pour se maintenir en survie d’accepter tant de misérabilité.

De l’autre le gentil, souvent transformé en infirmière désintéressée mais pas que, qui agit pour amour de son  prochain.

Et au milieu il y a tout ce mélange qui fait le peuple, la vie de tous les jours.

Il y a ces drogués qui ne trouve plus à se satisfaire puisque les cargaisons ne passent plus les frontières même en fraude.

Le ruissellement financier ne passe plus dans les cités aggravant une situation monétaire que les travailleurs eu noir désespèrent pour faire vivre leur piétaille.

Les politiques avides de pouvoir crient haro sur ceux qui y sont, sachant très bien que s’ils y étaient ils ne feraient pas mieux, l’histoire resservant toujours les mêmes plats.

De nouveaux commerces sont en émergences mais les petits boulots revivront à la petite heure du lever de soleil pour savoir si ce jour je gagnerai mon pain et demain sera forcément un autre jour comme tous les jours que la république fait ou alors votre dieu.

Des déjà intellectuels préparent à leur sauce divine le futur bientôt présent.

Faut-il se masquer, faut-il se tracer, faut-il se noter.

Comment faire pour libérer l’individu bientôt étouffé par le confinement de ses gestes et de ses idées si l’on n’y prend garde.

A la vérité, il faudrait tout simplement dire non à l’extension de ces outils formidables de gardien de prison.

Mais le principe de réalité veut que l’on y soit déjà.

Moi, je ne soirs plus de chez moi…

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