Le Mangeur de pierres de Davide Longo chez Glénat

C’est un livre lent. Bien qu’il soit séparé par des chapitres courts, son rythme est lente. Comme figé dans ses paysages de montagne où l’on sent le dureté de la vie sans concession. L’on comprend rapidement qu’il s’agit d’un lieu de passage où les douaniers non pas le courage d’aller à moins qu’ils n’aient pas été encourager à rester.

Toute le monde se connaît. Tout le monde sait tout sur tout.

Mais les non dits demeurent. D’une excuse d’un meurtre d’un trafiquant passeur de personnes, il nous est habilement décrite la vie en haute montagne où l’on y vit comme avant tout en constatant l’avancée du modernisme auxquels les habitants, l’environnement ne peuvent rien y changer.

Peut-être simplement ralentir le temps de cette arrivée. Drôle d’histoire que celle-ci où l’héros trouve, par accident, un ami, disparu depuis longtemps, mort.

Où un ami tente de tuer un ami, mais, qui le tue.

Dans cette région, on ne dit pas, mais on fait ce que l’on doit, uniquement parce qu’il faut bien vivre. Et la mort, c’est bien connu, en fait partie.

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