Et en plus comme c’est moins, qu’il y a du monde, l’on rêve à y rester.
Mais, c’est sans doute faire abstraction qu’une semaine après le départ de la meute, les commerçants désertent eux aussi.
Et ce qui s’appelait commerces de proximité devient voiture obligée et, souvent pire, direction supermarché.
Cependant, surtout si le choix de résidence s’est porté sur une espèce de village de vacances qui ne porte pas son nom mais en haute saison n’est vivant que des touristes qui vont et viennent selon les allée et venues des capacités de chacun.
Ainsi, ce qui aurait pu paraître tranquille de prime abord l’est nettement moins quand votre voisin rentre tard bourré comme un coing à les rechercher dans ce qui sert de jardin.
Où alors ceux d’en face qui aimeraient bien rencontrer notre voisin tellement il a l’air au-delà.
Et que dire de la belle charmante piscine qui ne veut pas vous rendre vos semelles en-dessous de celles qui se trouvent au-dessus.
Un file d’attente telle que le vendeur se sent obligé de vous dire « il n’y en a plus » une fois votre tour venu et que le soleil a déjà exercé sa rotation.
Mais que voulez-vous, ce sont les vacances.
Certains en sont privés, alors les nantis ne vous plaignez pas.
Mais c’est pourtant une vraie corvée que de ramasser ce que votre chien a laissé traîner en constatant tous ces mouchoirs usés accompagnant des masques non lavables mais jetables, cela oui… N’allez pas croire qu’en rentrant ce sera mieux.
A croire qu’il faille penser que les touristes soient au diapason des riverains puisque le masque jeté là se trouve aussi bien en place la-bas sans que personne n’ait vraiment grand-chose à (re)dire sauf qu’il faut continuer à le porter en toutes circonstances.
