Le froid…

On a deviné, avec les pleurs et cris sortis des couloirs huppés, ce que c’est le sentiment d’avoir été trahi par son père, même un ex qui n’est plus grand-chose sauf la mère du premier proscrit, croit devoir s’en mêler en ajoutant au débat ce qu’elle croit savoir d’un ancien parti.

Mais que dire de cette fille rejetant son père d’autant plus violemment qu’elle l’avait chéri, adoré.

C’est d’autant plus fort que là c’est encore de son vivant.

Alors ce dernier fait comme l’ex, il se souvient dans un opus long comme le bras de mer de son enfance, d’un 400 pages que l’on pourrait croire correspondre à ses 40 ans de vie politique, mais qui sont bien peu dans l’attente d’un nouvel écrit.

Ah le bel homme, il annonce fier comme un bar tabac qu’à 16 ans il était devenu un homme et que contestant l’autorité il s’en est allé comme son vieux père marin de son état qui avait été le plus jeune conseiller municipal pour servir l’état.

Mais, vous n’en saurez pas plus.

Vous n’avez qu’à acheter l’ouvrage d’un conteur qui ne s’en ait jamais laissé conté .

Sans doute le trouverez-vous en bonne place en chaire d’un congrès national d’un parti à débaptiser.

Vous ne m’y trouverez pas, mais je serais de l’autre côté.

On l’a retrouvé, cet ingénieur accepte désormais de rendre le sommeil aux français, tant pis pour lui, qu’il apprenne, qu’on le mette sur la paille dans les cachots humide de notre bonne République au sein d’une proximité où il pourra faire valoir ses talents.

Au moins, lui, il ne mourra pas comme cet énième Sdf mort de froid, dans la rue, bêtement de n’avoir pas compris la catégorisation établie comme une ordonnance de ceux qui ont ou non pas un comme chez toit.

On cherche testeurs pour tester croquettes à chien, ha non je n’y goûterais pas, il n’a qu’à se débrouiller l’animal !

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