Le Covid-19 nous met à poil

Les infirmières, les dentistes sont photographiées pour faire voir combien elles sont nues. Au féminin, car les mâles, bien que touchés dans leur chair, ne se montrent pas.

Mais, pour faire remonter la parité, un avocat a rédigé son propre avis de décès pour dire combien la profession va être disséminée en dommages collatéraux si le retour à la normale ne vient pas plutôt.

Les remerciements sont largement insuffisants pour remonter le moral, le sourire qui vont avec la vie quotidienne qu’il faut bien continuer à vivre.

Les mariages, même s’il y a moins de 10 personnes, multigamie incluse, ne pourront s’unir et seront reportés in sidie comme l’on m’appelle.

Combien supporteront-ils cette séparation  avant union ? Mais, dans l’immédiat, malgré recherche de compromis, les professionnels qui en vivent peuvent être sous le signe de la mort.

Les peut-être bientôt futurs mariés vont-ils tenir la distanciation sociale ? L’application de traçage n’est pas encore viable.

Le premier de cordée gouvernemental après le premier de cordée national, l’a promis dès que le logiciel espion sera prêt il y aura grand débat avec les élus nationaux et vote.

Comme l’on connaît la majorité à sa botte, il n’y a pas besoin de manger des pizzas pour digérer cette salade.

Heureusement, il restera la possibilité de téléchargement ou non pour ceux qui penseraient être à la merci d’un flicage national, d’une surveillance d’espionnage des voisins et piratage en tout genre des malfaisant gagnant bien leur vie avec les effets du confinement.

Jean qui rie, Jean qui pleure selon les humeurs.

Tandis que beaucoup d’artisans et autres plongent dans le grand bain bouillonnant, d’autres se prélassent dans leur jacuzzis à bonne température.

Il y en a qui se prend pour le génie aussi bon soit-il.

Il tient en public des propos délirants faisant ressortir sa personnalité d’aura.

S’il est a priori un très bon médecin avec qui l’on donnerait sa santé à soigner sans hésiter, on respire qu’il ne soit pas au gouvernement avec l’autre illuminé.

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