Le compte n’y est pas

Il y a des cercles de réflexion, de l’énergie dépensée dans les commissions gouvernementales pour tenter de chercher des traces de preuves de l’existence de la réalité des faits ruisselant de la pensée de l’illuminé.

Et comme il est hautement élu, celle-ci est sacre.

Il suffit juste de savoir bien en considérer les bonnes interprétations comme d’autres savent si bien le faire avec les écritures des saints livres sacrés.

Ainsi, donc, si l’effet réel du ruissellement est aussi a sec que les cours d’eau en temps de canicule, c’est que le véritable effet à obligatoirement constater n’est pas dans cet étang.

Même si certains préconisent d’attendre jusqu’à encore 3-4 ans pour atteindre un délai de 5 ans après la pris de cette mesure, d’autres ne s’arrêtent pas à cette procrastination prometteuse et se mettent en marche sur d’autres voies.

Par exemple, ce ne serait pas la recherche de savoir où se place désormais cet agent, quelques 3 milliards tout de même en moins dans le bas de laine non imposable, mais plutôt ce qu’en pense les bonnes fortunes concernées.

Et ils sont légions, au moins dix exemples dans le recensement effectué, ce qui fait pas mal de monde dans le petit groupe des fortunés qui constitue tout de même 0,1 % de la population active chômeurs et retraités compris service déduit.

Ainsi cet exilé de Californie qui revient en bonne Normandie puisque désormais en son pays natal il paye moins d’impôts que dans celui où il a fait bonne fortune.

Cet autre, ancien assureur mondain, qui proclame que l’économie reçue est largement inférieure à la somme laissée en sa fondation pour bonne œuvre.

Comme si celle-ci aurait été asséchée si l’Isf était resté.

Mais, il est vrai que cette catégorie d’impôts est anti-économique.

Il vaudrait mieux, une fois pour toute, aligner l’ensemble des revenus, salaires, pensions, allocations et j’en passe, sur le même taux différencié selon l’ensemble des revenus du ménage sans autre décote que sa composition.

Et encore pourrait-on tenter réfléchir sur l’utilité d’encourager les naissances en ces temps de surpopulation qui enfle..

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