Il y a comme cela des bandes où seuls les lieutenants prennent les coups et se font arrêter. Ainsi le chef tout puissant peut-il continuer à vaquer à ses occupations pas si ordinaire que cela. Si ce qui est arrivé encore hier d’un patron politique pas vu, pas pris.
Lui aussi, comme un autre avec moins de chance, crie à l’infamie sans rage, ni désespoir puisqu’il s’en est sorti. Au passage, pas un mot pour ceux qui se sont fait prendre comme des petits malfrats.
Heureusement que la justice même avec les anciens puissants, car il ne s’agit pas de clans de banlieue, est accrocheuse. Les futurs condamnés ont du souci à se faire.
Il n’y aura plus de remise de peine automatique.
C’est ce qu’a promis le chef de sa justice malgré une autre promesse de calmer la densité humaine dans ces lieux de formation à la vraie délinquance. Sans doute le tout en même temps pour plaire à la gauche et à la droite sans satisfaire personne. Le 1er de tous ces chefs de guerre à part celui de cordée, a fait savoir qu’il avait décidé.
Pourtant, devant sa joie, l’on a cru comprendre qu’il obéissait comme un petit toutou à son maître patron plus que lui. Il a dit laissez les caïds des banlieues commercer, fermez les grandes surfaces commerciales. Achetez prés de chez soi est bon pour la planète.
Sans crainte du ridicule du 1er avril, il estime pouvoir libérer les bonnes gens au cours allongé de ce mois. Il compte sur l’augmentation de la croissance des piqués.
Il reste ferme sur ses positions en affirmant sa promesse depuis des mois ; c’est juste la date du report qui est éloignée. Il dit réaffirmer le port du masque en milieu urbain.
Cette fermeté permet de pallier l’insuffisance grave de ceux qui étaient aux commandes au début du confinement…