On leur avait dit qu’elle était cancérigène, provoquait des lésions si on la provoquait. Son goudron était nocif, son papier faisait de même bien que partant en fumée.
Ils ont donc quitté la cigarette, conscient de inconscience à rester, pour s’approprier la fumette électronique.
Mais voilà t’y pas que le vapotage expirerait quelques 200 autres cancers dont les aficionados seraient affligés.
Mais tout espoir ne part pas en fumée, car si les atteints ont pris la même habitude, rien ne rapproche la cause à effet de l’utilisation.
Pour l’instant, cela ne prouve rien.
Mais avec un peu de lobbying cela devrait faire genre humanité menacée.
L’internet et la téléphonie devraient être un droit pour tous.
Il est le même prix, selon le fournisseur choisi, quelque soit l’emplacement où vous vous(re)trouvez.
Pourtant, des privilégiés ont droit à un accès illimité non pas par leur abonnement mais par la régularité du service.
D’autres n’ont que leur yeux pour pleurer ou leur patience pour trouver le réseau qui va bien.
Il en va sans doute de même pour les distributeurs de monnaie de banque.
Dans un double patelin, doublé si l’on prend garde aux surnoms dus à la plage en présence de mer, pas de dab, à l’exception de celui de la poste qui n’est pas encore fermée.
Ce qui serait gênant puisque le tabac d’en face dit déjà qu’il n’a plus ni presse, ni tabac.
Et certains commerçants qui essaient de survivre à coup de hausses tarifaires mortuaires qui ne veulent (plus) de la carte bancaire trop énergivore de bénéfices chargeant les frais généraux.
Je vous l’emballe ? Malgré la proximité supposée, le contact ne se fait pas.
En fait, ces bourgs le long du littoral ne sont plus que des cités à dortoirs pour amuser la galerie des touristes.
Profitants ainsi aux ex habitants du coin qui se font plus commerçants que ceux loin partis.