L’Appât de Daniel Cole chez Robert Laffont
Titre racoleur sur 1ère de couverture sanglante à souhait associé à un sticker revendiquant le prix Bête Noire des libraires 2018, ont eu raison de la mienne pour un achat en toute confiance.
D’autant plus qu’en 4ème, les avis dithyrambiques étaient prometteurs.
Et si vous aviez encore quelques doutes, sachez que l’écrivain auteur de ce livre a été celui de Ragdoll, best-seller international bien connu des amateurs du genre.
Mais, voilà, à force de trop tirer sur les ficelles de cet ancien, l’on a comme une impression de louper quelque chose de ne pas l’avoir vu, lu, avant l’entame de ce nouveau.
Et ce n’est pas la fin qui nous consolera.
A vrai dire, de bout en bout, je suis comme les victimes de ce livre, ne sachant pas trop pourquoi je suis allé au bout afin, peut-être de savoir qui tirait les ficelles.
Mais ce qui est rassurant c’est que pour le moment la réalité a été dépassée dans un scénario invraisemblable qui ferait bon genre d’un film catastrophe où le célèbre flic, à la gueule cassée coince par son addiction à l’alcool et ses remords du passé, se transforme en une femme fatale.
Sans doute les effets obligés de la parité.
Non, vraiment, je n’ai jamais marché, quoique un peu au début et plus du tout à la fin ne justifiant aucun moyen, sans doute trop détaché.
Le Brexit commencerait-il à prendre vérité ?
