La vie humaine reprend ses droits … c’est dommage pour les autres habitants

Pendant près de 2 mois, avec le confinement, les humains avaient presque disparu de la circulation. Les rues de villes furent vides, quasiment plus de voitures, de motos, de vélos, ni de piétons.

En descendant faire notre ballade, réglementaire, de 60 minutes maximum, sans oublier d’avoir convenablement renseigné son attestation, la ville en dehors d’être vide d’humaine était différente.

Le silence, prenant au début, presque angoissant, devenait le quotidien lors des promenades. D’angoissant au début, il devenait rassurant, donnant une autre vision de l’agglomération.

Au printemps, des odeurs des arbres, des fleurs était plus présentes, n’étaient plus masquées par la pollution des voitures, les odeurs des restaurants et même des autres commerces.

Plus surprenant, le retour des animaux, en ville. A Orléans, il est de coutume de voir, en bord de Loire, des canards, des oies, des cygnes et autreq oiseaux. Mais, ils ne s’aventurent pas du tout dans les rues. Durant le confinement, il n’était pas rare de voir, principalement, des couples de canards colverts, commencer à s’aventurer dans les rues montantes vers le centre-ville. Pas, en pleine nuit, mais dans la journée.

Nous, les humains étant tellement peu nombreux, qu’ils n’avaient pas peur de nous, s’écartant simplement de notre chemin.

Une fiction qui date d’une dizaine d’année, imaginait une disparation immédiate des humains, sans que le sol soit jonché de cadavres, les humains faisant « pschitt ». Le plus gros problème étant les centrales nucléaires, qui s’en entretient sont des bombes à retardement, mais la Terre s’en sort.

Durant, le confinement, nous avons eu un petit aperçu de cela. Les animaux sauvages, nous ont montré qu’ils n’avaient pas besoin de nous, qu’ils étaient capables d’occuper le terrain tout de suite, que nous n’étions que des « empêcheurs de tourner en rond », que nous les gênions dans leur vie, en les empêchant d’aller où bon leur semble.

Le confinement à montrer que la planète Terre n’a vraiment pas besoin de nous, que la flores et tous les animaux se passeraient de l’existence de l’homo-sapiens.

L’humain est le pire des prédateur, le seul animal capable de détruire l’environnement dans lequel il vit.

Cette pandémie a permis aux animaux de rependre, un instant, possession de leur planète.

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