La vie est comme un match

C’est incroyable, grâce à la faculté d’appréhension des parents de 74 ans, les deux jumelles que la femme vient d’avoir pourront peut-être majeure les accompagnés à leur dernière demeure.

Les chirurgiens ont crié bravo, au miracle pour leur grande performance.

Mais chacun s’est débiné pour conter ce que pourrait être l’avenir de ces deux petites nouveaux nées qui n’ont rien demandé.

Les  vieux ne vont pas que de la table au salon regarder la télé après avoir bouffé.

Il y en a un autre qui lui même étant, se veut l’égal de tout président en exercice.

Il a décidé la hiérarchisation des insultes dans les stades.

C’est comme donné des mauvais points.

Tu craches sur un homo comme ils disent et c’est un point de constat mauvais.

Tu craches sur un noir, c’est un point mauvais qu’il faut immédiatement cesser le match.

Car en général ce sont encore les noirs qui se font tirer dessus, mais, et sans doute est-ce la la vraie raison de la hiérarchie de la bêtise (in)humaine, d’autres y ont droit aussi rappelant les années noires d’une intolérance dégradante (pléonasme).

Il y a bien eu un tollé, notamment de personnes qui ne disaient rien alors, mais maintenant que c’est devenu genre ils font mode ; c’est commode.

L’illuminé, lui, qui rappelle qu’il est le président de tous les français, y compris des autres présidents, est venu au secours de son compère pour confirmer qu’agir oui , c’est bien..

Alors, permettez-moi une chose, une toute petite.

Si l’équipe perd, c’est qu’il n’y a pas de nul.

Ensuite, puisque  les supporters font tout pour arrêter la bérézina, arrêtons tout et le match est gagné si l’équipe adverse gagne.

Il est simplement suspendu si ce n’est pas vraiment le cas.

Ensuite, reconnaissance des nœuds qui ont fait pour leur dire ce que l’on peut en penser.

Ensuite, laisser son libre arbitre aux acteurs du jeu en herbe, ce n’est pas si mauvais que cela.

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