La vie, ça va, ça vient

Les visiteurs et pensionnés des prisons le savent bien. Ces derniers peuvent prendre bien plus qu’une orange car ces premiers, parfois, emmènent à l’insu de leur plein gré des téléphones pour mieux communiquer.

Ailleurs, souvent c’est pire, pas le droit de déguster une mandarine dans une entreprise de grande distribution vêtements et autres utilités à distance.

Si le salarié suspendu à pied avait pris le soin d’une orange peut-être aurait-il eu rien à redouter…Il en va ainsi du patronat.

Ce n’est pas lieu qui exige des ses tortionnaires de cadres de proximité d’être aussi tarés qu’ils le sont sont.

Non, ils se contentent juste d’imposer des objectifs juste tenables obligeant des méthodes que l’on croyaient aux oubliettes de siècles passés.

Mais, les trente glorieuses sont passées par profits, un peu pour les salariés grâce aux actions d’une gauche qui y croyaient encore, et pertes, beaucoup pour des salariés à bout qui ont encore plus peur du chômage à cause de leurs crédits consentis.

Mais c’est tout bénéfices pour les actionnaires qui ont vu leur pactole annuel augmenter au bas mot de 36%.

L’histoire ne dit pas combien la direction générale a touché pour ses bonnes actions ni l’effet du ruissellement sur ses cadres.

Mais l’illuminé appréciera à la juste hauteur ce qu’il défend si ardûment.

Qu’il est beau dans son aube, pensez l’homme en noir.

Vivement qu’il vienne à moi pour communier ensemble…Elles sont venues, neuves dans leurs petits souliers vernis, les tendre sœurs que l’on aime tant.

Oui, sans doute préférez-vous des nouvelles plus neuves, mais la vie continue suivant son fil sans fin.

De droite extrême à la gauche idem en passant par le centre droit qui penche de tous les côtés, un seul même cri du cœur : on peut rien faire sans argent.

Le capitalisme a gagné tous les rangs.

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