La vérité si tu mens

Des réductions, des hausses, l’on ne sait pas trop ce qui a vraiment impacté le résultat en sortie sur les pensions des retraites perçues.

Aucune vraie communication personnalisée, nada, rien, aussi vaine que l’écart perçu d’aujourd’hui comparé à hier.

Et, cela a commencé dès novembre par une complémentaire qui a frémis d’une bise à peine perceptible mais réelle.

Janvier devait être le grand jour d’une communication gouvernementale qui devait vous permettre de savoir.

D’autant plus que le communicant des finances avertissait que pour voir vous alliez voir.

Il vous suffisait d’aller tout simplement dans votre espace personnel pour prendre conscience des réalités vous concernant.

Fort de l’obtention d’un nouveau taux d’imposition sorti de la poche du grand magicien financier préleveur, vous avez vainement recherché le niveau de l’ancien.

Mais après avoir tangué dans les méandres de vos dossiers classés secret défense, vous ne pouvez rien comparer.

Et ce n’est pas la Cnav qui vous renseignera correctement sur d’une part l’augmentation de ce que vous croyez votre pouvoir d’achat et, d’autre part, la baisse de votre participation à l’effort national de maintenir entre autres une chambre où les députés n’ont pas l’air bien réveillés à moins qu’ils ne dorment debout de trop faire la navette entre le chez eux et le chez nous.

Et les complémentaires ne vous donneront ni raison, ni tort, comme si l’augmentation constatée en vérifiant l’avant d’après étant raison d’état sur le pourquoi du comment ils ont réussi cette magnifique opération consistant à additionner un plus avec un moins pour obtenir un résultat positif.

Cela me rappelle un ancien enseignement de prof mathématiques me confirmant la poésie de son art avec lequel tout est possible y compris faire rêver les gens.

Mais la vérité, une parmi d’autres, est ailleurs.

Par exemple dans la volonté de ce député qui n’est plus en marche mais qui se veut toujours dans la cordée du premier, de (re)mettre en selle l’ancien homme à tout faire, y compris de vais faux vrais papiers de passeports à s’y perdre, de son ancien chef de commando.

Décidément, ce qu’il y a de bien avec les non pro c’est qu’ils osent tout avec l’innocence du non-savoir.

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