D’autres, se jetteront dessus pour ne pas passer pour parents indignes de ne même pas pouvoir donner l’essentiel à leur progéniture.
Une minorité, accentuée par les vantards qui ne le font pas, en profiteront pour acheter à leur seul profit car entre dans leur système d’éducation le savoir faire d’attendre, la frustration qui fait le bon adulte pauvre et vivre à la dure n’a jamais fait mourir qui que ce soit si l’on sait chirurgicalement appliquer les bonnes doses et s’arrêter à temps.
D’autres se diront, avec certaines bonnes raisons, qu’il faut profiter de la rentrée pour se tailler.
Les arbres l’on attendra un petit peu que sève soit passée.
Par contre rédiger une bonne lettre de démission pour faire comprendre sa déconvenue à son patron petit chef hiérarchique, c’est la grande classe.
Ne pas oublier toutefois, de faire le calcul de son solde de tout compte avant de se lancer dans de nouvelles aventures.
Que les ceux qui sont dans cette condition qui espèrent ensuite bénéficier des nouvelles allocations offertes, se méfient d’eux-même.
Leur projet devra être validé au préalable par un(e) derrière son bureau que si l’idée lui en était venue ne serait peut-être plus là à juger et décider du sort des autres.
Par contre, pas question de valoir le droit au repos éternel, notre société ne valide que le travail, c’est notre illuminé entre deux bouchées de plats basques qui le dit et l’a répété sur tous les tons secondé par son collaborateur en second.
Les routiers ne sont pas sympa.
Il n’est pas question pour eux de participer à un bon entretien des routes qu’ils contribuent à esquinter beaucoup plus que les autres véhicules, hors agricole mais il y en a peu.
Et l’écologie, l’on roule dessus sans contrainte de vitesse ou autres limites.
