Dommage qu’il n’ait pas de leader présentable pour se présenter dignement.
D’ailleurs, l’on n’a pas toujours compris son programme inexistant.
Et si l’on acceptait d’y (r)ajouter les vôtres blancs et nuls mis à part dans les comptes, l’on se dit que la Démocratie se joue avec peu de valeurs en cartes sur table.
Mais, voici le temps d’une quinzaine où le tintamarre régnera en maître, envahira nos maison.
Faites attention, ces deux-la, en professionnels, de la parole risque de vous assourdir de promesses non tenues à ce jour.
L’un parce qu’il pensait à autre chose, l’autre parce qu’elle avait autre chose à réaliser.
Dans tous les cas, vous risquez bien d’être les dindons de la farce.
Et croyez-moi, la dinde en avril, c’est comme avoir une arrête au travers de ses propres sentiments.
La dame, cheffe de guerre parricide avant tout, mais aimant les chats (à courre?) et les beaux bobos, sans toutefois aller jusqu’à intégrer les migrants, reprend les chemins conquis pour se faire reconnaître Reine.
L’assiégé, qui hier était fort pris dans la tornade de ce qu’il avait à faire qu’il ne pouvait faire le tour de ses terres, décide qu’il est temps de reprendre du terrain.
Il envoie ses troupes divulguer sa bonne parole.
Et lui va par surprise en terre ennemie pour compter les troupes de celle qui s’arque boute pour lui retirer son pain blanc.
Pendant deux semaines, il n’y aura plus personne aux commandes étatiques, l’état mis en pilotage automatique devra faire preuve de sa sagacité.
Heureusement qu’il y a encore des fonctionnaires tenant la boutique même s’ils ne sont plus aider par les bataillons étrangers peu avare de pieux conseils à assécher la bonne population.