Cette débile pub qui tente de nous mettre dans le potage m’agace au plus haut point juste à côté des autres.
Ils osent nous remercier d’avoir ingurgiter leur sale bouffe et de leur avoir fait savoir.
Sans en allant ailleurs, mais l’histoire ne le dit pas.
Ce serait grâce aux mauvais avis reçus qu’ils ont décidé, ce sont eux qui le disent, d’utiliser des produits en plein air et non plus en éprouvette.
Cela n’a strictement rien à voir avec le marché du bio qui entre dans tous les emballages du quotidien.
Dans une grande émission hebdomadaire d’un jury qui décide ceux qui sont importants, il y a un interrogé face à des journalistes en cour.
Aujourd’hui, ce sont deux invités, celle chargée du travail en ministère et un grand de la santé.
Moitié, moitié, pas sur que les protagonistes s’en remettent dans les fin de dîners.
La belle aux multiples activités dit qu’il n’est pas raisonnable de vouloir continuer à faire ses courses habituelles dans les petits commerces.
Par contre, cela est normal de continuer à prendre sa voiture en nombre pour s’entasser dans les files d’attente aux caisses des grandes surfaces qui elles ont tout l’air qu’il faut.
Avant, il y avait le dialogue social qui engageait le patron vis à vis du salarié.
Désormais, ledit concerne les patrons, histoire de tout mélanger et faire perdre sens à la qualité de travailleur salarié.
En attendant, le gouvernement suit son penchant au totalitarisme.
Il a cru entendre dans les complaintes des (p)artisans et autres le problème de concurrence dévoyée.
Il entend donc faire rendre gorge aux grandes surfaces pour réduire leurs actions de ventes aux seuls produits considérés essentiels.
Nous qui portons des aides auditives, avons cru comprendre que l’essentiel du vrai problème est la volonté de continuer à travailler.
Si ce n’est pas normalement au moins pour pouvoir payer leurs échéances qui elles ne semblent pas être concernées par le confinement.
Leur recouvrement est certainement essentiel à la vie de tous.