La parole n’est pas bonne pratique

Les gens avec leur bonne conscience sont méchants, de vraies mauvaises langues.

Tenez, en ce moment, ils se gaussent de la langue fourchue du clown triste auguste d’Outre Atlantique qui fidèle à lui-même sortait des propos incohérents du moins indigne de la fonction qu’il a volé à ses concitoyens.

Il a osé proposer que l’on essaie la prise d’eau de javel pour éradiquer le virus emprisonnant les corps sains mais se n’est pas proposé en cobaye.

En fait c’était une image en forme d’ellipse de parabole pour apporter sa bonne parole d’attention qu’il ne faut pas faire n’importe quoi ce qui est pire que de dire n’importe quoi.

Hé oui, il avait, l’homme incompris qu’il est triste d’un chagrin d’être seul, seulement voulu avertir que le remède peut être pire que le mal.

A force de vouloir tuer l’animal qui est en nous l’on peut en devenir bête et continuer les deux pieds devant.

L’enfer étant pavé de bonnes intentions, il fallait faire attention à ses intentions bienveillantes car le diable se niche trop dans les détails.

Encore faut-il y croire.

Mais ne refaisons pas la guerre au risque de doubler le nombre de morts.

Encore faudrait-il avoir connaissance de celui de première.

C’est entendu tout le monde savait sans savoir vraiment avec pour exemple le H1N1 qui avait valu descente en enfer de la ministre d’alors.

Mais, enfin, le vrai mal français est dans sa culture du premier de cordée, seul chef.

Et le chef veut cheffer.

Le meilleur acceptera bien une idée paraissant nouvelle, mais à condition que les tours et alentours soient bien identifiés.

Car Monsieur, ce qui fait notre élite qui seule décide c’est de réfléchir avant toute action.

Ce n’est pas de leur faute car la seule pratique qu’il ait eu à accomplir dans leur cours parcours de jeune est le grand oral susceptible d’ouvrir les bonnes portes faisant bien en parloir de dîner mondain.

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