La Liberté, c’est quoi ?

C’est bien d’entendre dire d’un membre du gouvernement : «  Il faut cesser de considérer les violences conjugales comme des affaires privées ».

Et que ce soit la ministre chargée de la lutte contre les discriminations entre autres rassure sur les intentions étatiques.

Quoique, sa musique à elle semblerait ne concerner que les femmes.

Cela devient inquiétant lorsque l’on sait également que des hommes sont touchés soit du fait de leur conjoint femme, soit celui de leur conjoint homme.

Il y aurait-il un consensus de non parité sur le sujet ? Est-ce qu’il n’y a pas assez de morts pour être à la hauteur des préoccupations ministérielles, ou faut-il lancer une autre mode comme certains lancent les nains ? Et, peut-être peut-on même considérer les enfants maltraités même si bien souvent ils ne disent rien, ne s’opposent à rien.

Seul leur passage adolescente laisse quelquefois des traces douloureuses et atroces à l’âge adulte de refaire à d’autres ce qu’ils ont vécu personnellement.

Lu dans une tribune : « désormais [la] censure n’est plus la vieille censure réactionnaire de droite, elle est presque exclusivement pratiquée par des gens qui se réclament de la gauche et du progrès, et exercent un véritable terrorisme intellectuel. C’est un retournement historique ».

Si l’on écarte ce qui s’est passé au cours de notre si chère Révolution, alors oui je suis d’accord.

Toutefois, j’avoue que personnellement j’ai toujours été confronté à cette censure de gauche qui déclarait tout savoir, tout connaître, tout décider et cela dans le bon droit du peuple qui n’en a jamais demandé autant.

C’est ainsi, la vie d’aujourd’hui est un merveilleux mélange de tout à partir du moment où vous n’avez rien à (re)dire contre ces censeurs, libres adeptes de leur pensée unique.

Le pauvre homme, seulement maire par femme interposée, il n’est plus rien, il n’a plus rien.

Obligé de se séparer du plus grand des prétoires, obligé de reprendre son homme de confiance de toujours.

Alors, vous le voyez bien, ce n’est pas un mauvais bougre, libérez-le : il ne vous rendra rien.

Un dinosaure de droite disparaît..

Quitter la version mobile