Il nous avait été dit pire que pendre sur le port du masque.
Ce dernier était très dangereux.
Seul valait celui porter par le chirurgien.
De plus lui et ses chevalières servantes savaient le porter bien.
Et puis, il y a eu cette ruée indécente.
Cette peur incandescente qui a fait risquer la guerre sur les tarmacs.
Tout le monde était à l’affût de la moindre trace pour se les garder.
Et comme c’était la guerre, certains malicieux ont espéré faire fortune dans ces bouts de tissus.
Il y eu le grand soupçon de n’importe quoi en extérieur.
Puisque la bête immonde était en aérosol.
Mais le sachant ne voulant pas que l’on sache qu’il ne savait pas grand-chose sinon rien, nous appris la démagogie libératoire.
Il fallait le porter en tout temps tout le temps afin de ne pas prendre le risque de ne pas le mettre quand son port l’exigeait.
Il était vrai que l’automobiliste sachant jongler avec les limitations de vitesse parfois contradictoire devenait tout à coup sénile en déambulant sur ses pieds seulement.
Certains, parfois d’autres mais souvent les mêmes, affirmaient que la matière virale volage pouvait porter loin s’il était extirpé d’un corps pendant un éternuement pervers.
Peut-être bien que l’accueil du coude n’était pas suffisamment pour arrêter ce flot ininterrompu.
Et peut importe que ce qui compte était la quantité de dose puisqu’il apparaissait même que la covid19 s’appliquait dès lors que l’on touchait une poignée d’entrée ou de sortir pou appuyait sur un bouton malicieux d’ascenseur.
Que n’a-t-on pas entendu des capacités de portage alors que dans les transport où les personnes se la jouaient à touche touche, se retenant sans retenue sur les barres pour tenir leur équilibre.
Jamais il n’a été prouvé de cluster infâme dans les transports bondés de première, deuxième et troisième ligne.
Et désormais, vous êtes libre comme l’air non porteur virale.
Et c’est pur hasard si cette libéralisation intervient quelques 4 jours avant un premier scrutin..
