La France est comme le reste : en deux territoires…

Dans une partie du bout du Monde terrestre, des gens, des personnes, des êtres humains, des femmes et des hommes comme vous et moi n’ont ni l’eau courante, ni l’électricité la fée de tous les logis de pays civilisé.

Bien sûr, on le savait, on le sait, le continent africain est à lui seul en état d’insalubrité qui ne cesse de creuser son trou du fait de la rapacité des pays capitalistes et socialistes avides de profiter de leurs richesses terrestres ? Et, en conséquence, de laisser faire les dictateurs locaux régler leur compte aux ethnies différentes.

Rien à voir avec le nazisme, le gazage, puisque les victimes concernées et les assaillants sont tous noirs… Mais, je ne voulais pas vous parler de cette terre providentielle où les riches des Gafa et autres vont planter leur bel argent sans rien y remédier puisque seul compte leur possibilité de se lever chaque matin fier de se regarder dans la glace.

Mais, je voulais vous parler, en fait, d’un autre pays que la civilisation a envahi en oubliant un bout de territoire.

Je ne vous parle pas des oubliés du téléphone portable, ni des voies obscures d’internet en fibre ou de communication en 3 et 4G.

Non, je voulais vous parler d’un bout de pays lointain où les gens survivent d’un rien qu’ils trouvent avec espoir.

Ils n’ont ni eau, ni électricité, mais ils ont la chance de voir les touristes arriver fiers de se languir sur de si belles plages, se baigner dans des lagons difficilement imaginables.

Dommage qu’il y ait une drôle de particularité d’autochtones qui ont une drôle d’occupation journalière d’aller chercher de l’eau là où elle tombe, de se coucher la nuit tombante faute de luminosité alors qu’eux, les braves argentés, se pavanent dans leurs palaces à chambre réfrigérée avec vue sur la piscine éclairée de toutes ces guirlandes pour faire beau.

Cela se passe, non pas en pays étranger.

Cela se passe aujourd’hui.

Cela se passe en France.

Cela se passe sur des français ayant la malchance de n’être pas hexagonale.

Quitter la version mobile