C’est la démocratie qui règne en cette fin de la première partie du 1er de cordée auto-proclamé.
D’un côté celui qui se transforme en amuseur public dans une émission à assez grande écoute qui se permet de faire virer de l’émission un contradicteur qui n’a pas eu l’heur de lui plaire.
De l’autre un débat à faible écoute entre deux politiques dont on se demande bien qui se trouve à l’extrême droite de l’autre.
Mais, même pour un effet de style que veut le genre, il n’est pas normal de manquer à ce point de respect envers l’autre.
Et dire l’insulte suprême de mollesse à la gardienne parricide des chats fait craindre de la suite sur les 2 ans à venir.
Au moins, la patronne des droits de l’homme, risque d’arriver à être aussi connu que son prédécesseur, grâce à sa sortie sur la rupture de contrôle d’identité dans certaines zones du territoire.
Empêcher les forces de l’ordre de faire leur travail n’est peut-être pas la bonne solution de bien faire.
Peut-être serait-il préférable de leur apprendre la base de leur métier : le respect de l’autre.
Encore faudrait-il les mettre dans les meilleurs dispositions.
Ainsi, avoir porté la formation à l’entrée de jeu est une bonne chose si les piqûres de rappel sont suffisantes et sérieuses.
Un peu comme la lutte contre un virus qui ne cesse de se propager en silence si l’on n’y prend garde.
Encore faudrait-il éviter d’installer les nouveaux promus sans expérience dans les quartiers à complexité variée.
Et pour en finir dans un bon sens de début de solution, faire en sorte que ces jeunes confrontés le plus souvent à d’autres jeunes soient encadrés en toute circonstances par des mieux préparés, un parrain en quelque sorte mais pas mafieux.
Et puis si les décisions de justice pouvaient être plus efficientes, cela ferait du bien à tout le monde.
