La Covid a bon dos

Chouette que c’en est super. A l’heure de l’actualité du retour des entreprises de base sur le sol français, voire en Europe si ce n’est pas autrement possible, deux grands s’occupant de l’énergie, essentielle, indispensable, à tous, décident d’un accord sans doute pas très comme, et à l’insu du plein gré du plus faible, d’allier leur force pour partir à la conquête du monde tel qu’il est fait.

Cela coule de source, plus l’on est fort, costaud, plus la base est solidifiée.

Oui, l’on comprend mieux les aides tellement importantes, indispensables dispensées par l’illuminé.

Mais, alors pourquoi les syndicats dans leur entier s’inquiètent-ils des éventualités certaines d’un tsunami sur l’emploi ? Mais, l’union se fera quoiqu’il en coûte à une base qui n’y comprend rien.

De toutes façons, lorsque l’on nage en eaux troubles on ne manque pas d’air, apnée qui peuvent ! Ce qu’il y a de bien dans un état de droit libéral, casse toi de là, dégage, c’est que tous les instants sont utiles pour en profiter d’aller toujours plus loin dans la permission des droit de l’entreprise qui comme un arbre cachant la forêt, ne laisse pas voir la multitude d’arnaqueurs derrière elle bien cachés.

Ainsi, les propriétaires d’entreprises en faillite n’auront plus à se masquer pour racheter en catimini ce qu’ils appellent leurs biens à eux.

Les masques tombent, une fois le jugement déclarant morte la personne morale, l(s) propriétaire(s) d’avant, rachète(nt) à bas coût la belle puisqu’elle vaut rien.

Au passage, le passif du bilan est éteint pour ne profiter que de l’actif.

Et, comme un bonheur de bonne étoile ne vient jamais seul, si l’on peut se débarrasser de quelques salariés gênants la marche de la société, y a pas à se gêner.

Les tribunaux adhèrent puisque désormais une loi existe en ce sens.

Bien sûr, à l’origine, c’était dans le cadre exceptionnel du Covi19 bienvenu.

Mais comme il dure, il dure, pourquoi ne pas faire appliquer la loi ?

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