Le texte souligne que l’apparition d’un cas parmi les élèves implique que les autres élèves de la classe soient identifiés comme cas contacts à risques, ce qui fait qu’il sera demandé à tous les élèves de la classe de rester chez eux pendant sept jours, entraînant de facto, une fermeture de cette classe, le protocole, à ce stade ne fait pas la différence entre le virus et ses variants, mais il n’est pas précisé dans quelles conditions elle peut rouvrir.
Les personnels ne seront pas identifiés comme contacts à risques dès lors qu’ils portent un masque grand public de catégorie 1 ou un masque chirurgical, conseillé depuis l’apparition de variants sud-africains et britanniques, ils pourront donc enseigner dans une autre classe.
Dans l’enseignement primaire et secondaire les règles sont différentes, le port du masque est obligatoire à partir de 6 ans ce qui fait que l’apparition d’un cas confirmé parmi les enseignants ou les élèves n’entraîne pas automatiquement de contact à risques dans la classe.
La jauge reste dans ce cas la même : dans la circonstance où trois élèves d’une même classe de fratries différentes seraient positifs, alors les élèves et le personnel de la classe doivent être considérés comme contacts à risques et s’il est établi qu’il s’agit de l’un des variants, la classe sera fermée après un seul cas.
Autre renforcement du protocole, à la cantine, une distance de deux mètres entre les groupes d’élèves sera désormais requise, contre un mètre auparavant.