La bonne affaire pour toujours les mêmes

Dans ma vie quotidienne, j’aime bien m’abonner à des revues que j’aime parcourir et si affinités à lire. Parmi elles, il y en a une pour laquelle j’ai cru déceler une infidélité puisque depuis au moins trois semaines je ne la reçois plus dans ma boîte aux lettres.

Pourtant, j’ai pris un abonnement normal dont d’ailleurs, le kiosquier du coin me disait tout le mal.

Il est vrai que depuis, il a disparu, sa colonne avec.

Un appel au service clientèle diligent puisqu’il répond automatiquement à l’inverse des nombreux élus gagnants 11er de leur catégorie.

Et je m’entends prononcer la normalité de la non réception puisque les envois sont interrompus pour l’été depuis mi-juillet et reprendront fin août comme ils l’ont prévu sans prévenir l’abonné.

Perso, je crains que désormais je ne vais pas avoir autant de plaisir à lire les pages offertes.

Il va falloir que j’y remédie vite fait et bien fait.

Énervé ? Non, agacé, oui.

C’est toujours le même qui est le pigeon.

Tenez, prenez les produits bio qui permettent aux grands distributeurs de majorer leur marge brute de près de 100 %.

Une des cultivateurs producteur de bio en légumes affirmait qu’il valait mieux pour lui vendre en direct circuit court du voisinage et marché du jour de proximité que de vendre en gros à ces revendeurs profiteurs.

Pensez, à ces derniers il vend 0,75€ la botte alors que pour les premiers il peut monter à 1,5€.

et le pigeon, il est fermier ? Je reçois en bonne nouvelle une annonce d’une vente privée pour l’acquisition sans coup férir d’une belle télé qui pourrait meuble design dans mon salon ancien.

Mais, comme je suis curieux, j’ai l’audace d’aller voir le niveau de la bonne trouvaille : 800 et des patates pour être privilégié et 499€ d’un anonyme chaland passant par un boutiquier habile en affaires.

Je crois que même de ferme le ramier ne passe pas.

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