Il le voudrait réellement qu’il ne le pourrait point.
Tenez, en ces années de fortes inflation, alors que de nombreux foyers ont sombré un peu plus dans la pauvreté, d’autres au bord du précipice infernal ayant du mal à fournir ses 3 ou 4 repas par jour, ces riches ont vu leur (bonne) fortune croître sans rien faire de plus qu’ordinaire.
Déjà que pour la plupart d’entre eux, nés avec une petite cuillère en or bien fournie en calories, ils ont hérité en pleine propriété du travail réalisé par leurs très arrières-parents.
Des impôts payés sur cet héritage ? Bien sûr, mais avec un délai suffisant pour qu’il soit réglé rubis sur l’ongle afin qu’il n’y ait aucune douleur même passagère.
Et, il faut bien que les avocats d’affaires étudient la question pour être qu’il n’y ait pas d’erreur.
Et, c’est ainsi que pour 2022, le 1er du classement très recherché, a crû de 54 milliards.
Mais, s’il continue à faire si peu, il reste fort de se faire rattraper par son second qui lui a augmenté de plus de 59 milliards.
Une paille mon ami, une paille et pas en plastique mortifère.
D’ailleurs, ces trois premiers ont cumulé 150 milliards de plus.
N’allez pas leur dire qu’une petite ponction aurait fortement soulagé le déficit présumé d’une certaine retraite pour tous les français.
Mais, ces derniers doivent comprendre qu’ils doivent travailler plus, plus longtemps pour participer à ce festival ; c’est le ruissellement inversé.
Et, il ne faudra pas compter sur les 497 autres très, très riches, qui ne se partageront, et encore d’une manière très hétérogène, quelques petits 18 milliards à faire pleure toute mère célibataire ou Sdf rêveur.
Et ne comptez pas sur les politiques pour aider ces riches à aider les français…