Journaliste un jour…

Un communiquant journaliste embauché pour créer la polémique de droite réussi très bien ce pour quoi il est grassement payé.

Dans une des dernières manifestations, et encore pense-t-il que ce soit réel pour toutes, il dit constater qu’à chaque fois, il y a de la casse en fin de parcours et avant des manifestants pacifiques.

Mais pas du tout pour lui.

Il affirme que ceux-la sont complètement complices de ceux-ci et vice-versa.

Car, ils se doutaient bien qu’en marge de leur action, il y aurait violence.

Donc, en acceptant de continuer à manifester, ils obligent à la violence.

Si ce n’était pas le cas, ils n’iraient pas manifester, point barre.

Bien, entendu, ce brave pas facho d’extrême droite du tout, ne laisserait pas imaginer par exemple que l’institution des forces de l’ordre savait très bien qu’il y aurait un petit comité violent qu’il faut laisser faire pour dénigrer la manifestation en paix.

Mais, il est vrai que nous sommes en République, ce qui le fait baver de rage, et que tout le monde a le droit de faire et dire n‘importe quoi.

Dans cette dernière manif, une troupe pacifique demande aux policiers de mettre un genou à terre comme cela s’est fait dans d’autres pays notamment en Outre Atlantique.

C’est une véritable erreur politique car, c’est vrai, en France l’institution n’est pas raciste, en conséquence, les policiers individuellement ne peuvent pas manifester leur mécontentement.

Même si certains pensent que parmi eux, il y en a qui exagèrent vraiment et aimeraient que cessent leurs exactions.

Une chose pour expliquer de tels propos c’est que cet homme a une bien belle place dans un journal réputé pour la place politique qu’il occupe.

Et il semble prêt à tout pour arriver à son but.

Sans doute a-t-il mal vécu une certaine partie de sa vie.

Sa haine lui fait utiliser son savoir, qu’il a grand, dans le mauvais sens.

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