Difficile de dire aussi limpide : « Avec ce plan de non-relance, il y a non-assistance à Français en danger ».
Le patron nouveau qui cherche désespérément entreprise digne de le (re)prendre après avoir été le grand ministre que l’on sait, est au moins très performant dans la critique.
Mais voilà, malgré ses efforts, personne n’en veut dans cette population d’egos extravertis.
Ce qu’il y a de bien avec la Covid, c’est le constat que tout est comme avant.
Nous passerons sur le jeu jeu des politiques qui smatchent pour mieux tacler l’opposant, le médecin sachant comme il croit qui tance son concurrent professionnel.
Mais, c’est encore et toujours, la guerre entre les générations par journaux interposés puisque les réunions familiales sont réduites à chagrin que c’est dur de vivre ensemble.
Voilà que ces jeunes entendent répondre à un article lancé paraît-il par des vieux.
Ces derniers disent en gros que si le virus tape fort en se remusclant, c’est la faute du comportement des jeunes à faire la fête comme pas permis.
Les premiers répondent que c’est parfaitement injuste car leur génération paie le prix fort d’un confinement sans exercice, et d’une sortie sur le marché du travail désespérant.
Ils disent que c’est encore eux qui vont payer la dette abyssale enregistrée.
Or, à partir du moment que ces jeunes sont peu touchés par le virus, c’est bien de la faute de leurs aînés si Covid il y a.
Comme d’habitude la vérité est dans les deux camps.
Et comme d’habitude, aucune solution consensuelle n’est recherchée.
Que veulent dire ces jeunes, pas si abrutis que cela sauf par leurs études sciences Po, énarques et n’en jetez plus de ces nés en cuillère de véritable or ? Qu’il faut peut-être laisser mourir les plus faibles, heu pardon les plus vieux faibles puisqu’ils ont fait leur temps.
Mais, ils ne peuvent le crier tout haut, tout fort puisque dans le lot il y a leurs papy, mamie qui les ont tant chéris.
Cruel dilemme que le passage de l’insouciance à la réalité de la vraie vie…