Je voudrais vous y voir

Alors, viendra, viendra pas l’illuminé nous annoncer sa dernière prophétie ? A priori non, il laisse ses collaborateurs directs nous dire la bonne nouvelle que l’on considère gravement notre santé comme prioritaire.

C’est d’ailleurs pour cela que le vaccin qui avait été popularisé pour le petit peuple et soignants a été suspendu.

Mais, peut-être que d’une pierre le chef du gouvernement, ne pas comprendre avec son chef supérieur qui y prendrait ombrage, va-t-il faire deux coups en nous disant la bonne aventure d’une bonne nouvelle de pouvoir continuer à nous faire piquer sans danger et celle plus moins bonne d’en profiter pour s’allonger quelques temps puisqu’il ne restera plus que cela comme passe-temps après avoir travaillé pour l’honneur financier de la patrie.

Comment ? Nous n’avons pas le choix ? C’est vrai qu’en continuant avec les mêmes zèbres nous ne pouvons que rester dans notre réserve.

Mais qu’il change de logiciel.

Qu’il vient à la rencontre des gens parqués dans des deux pièces à 2, 3, 4 et plus.

Peut-être comprendra-t-il que ce n’est pas possible de continuer ainsi.

C’est désormais clair, net et précis.

Il faut vacciner ceux qui en ont le plus besoin.

C’est fait pour les personnes en Ehpad et c’est bien.

Le résultat, il y a moins de morts vieux.

Désormais utilisons les amphis pour cibler les étudiants en masse.

Quand ce sera fait, ils pourront (re)sortir, faire le cours, vivre leur vie de jeunes – à propos, si je peux me permettre il n’y a pas que les étudiants qui sont jeunes.

En parallèle, utilisons les stades.

Celui de France irait très bien pour la Seine Saint Denis et les gymnases.

Et, là, pas d’histoire, réquisition de ceux qui savent se servir d’une seringue.

Et, en passant, comme cela, mine de rien, piquons les soignants présents, cela leur fera le plus grand bien.

Et voilà, en moins de temps mon programme ça pique rapidement.

Comment, les doses, où ça, quelles doses ? J’en ai ma claque des mauvais coucheurs.

Quitter la version mobile