Je pars…

Tu ne marcheras pas sur terre, et comme je n’y crois pas, ni dans le ciel.

De toutes façons, tout le monde s’en fout, la grève empêche bien des déplacements.

 Mais toi qui est habitué a bousculé ton monde, tu as décidé d’en faire à ta tête et, quand, tout de même, tu t’en ais allé vers d’autres aventures dont tu ne nous diras rien.

Vas-y marche, nous nous restons sur les quai avec notre train-train quotidien.

Grâce au 1er collaborateur, de l’impérieux sérieux en son palais, qui ne se soucie guère des déclarations sur son patrimoine puisqu’il n’en connaît point la valeur, la pagaille est encore plus forte qu’avant puisqu’il a dit oui aux discussions et non aux négociations.

Il est vrai qu’il ne peut se faire comprendre puisqu’il a en face de lui des analphabètes étrésillon.

Puisqu’il daigne s’expliquer au bas peuple, en retour, celui-ci devrait accepter la divine parole sans broncher et faire confiance.

 Au lieu de cela, il tente d’user de vieilles ficelles enveloppant un paquet de grèves amidonné plus ou moins d’effet de zèle professionnel.

 Pendant ce temps car l’on ne peut pas s’occuper de tout, n’est-il pas le fauché de façade, un homme croupi en prison depuis 5 ans en Outre Atlantique du fait qu’une importante grosse société française est en bis bis avec les pontes des pays de la-bas, et pour les faire plier, ces derniers ont enlevé légalement un type dont la seule malchance était d’être là au mauvais moment ; mais surtout, il ne faut dire à personne qu’il s’agit là de terroristes d’un drôle de genre.

Et bien oui, ils sont tarés.

Et pourtant nous n’avons qu’un seul rêve qui revient en boucle vivre à l’Outre Atlantique…

Déjà que c’est chez eux que la grippe espagnole a débuté ; mais il ne fallait pas le dire en laissant les forces de la nation dépérir en cette si belle guerre fleurie.

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