Cela fait grand bruit sur le plan de la criminalité où un gouvernement, quel qu’il soit sous nos latitudes, n’a aucun intérêt à la laisser flamber.
Ce d’autant plus qu’un retour de flamme peut vite lui tomber dessus comme le souffle chaud d’un boomerang de retour à son domicile.
Tout le monde a pu le constater lors de cette campagne vaccinale.
Tenez ce couple avec un enfant majeur et sans doute toutes ses dents y compris de sagesse qui ne s’accordent pas vraiment avec l’âge.
Une hiérarchie bien précise avait été décidée au niveau national.
Eux ont la soixantaine passée sans comorbidité, mais ont pu être piqué bien avant l’heure.
Pourtant, pour la deuxième prise, leur médecin traitant les a prévenus qu’elle serait repoussée car il ne pourra avoir les doses que bien plus tard.
Et, pourtant, la généralisation pointe son bout de nez de sortie du tunnel puisqu’il y a trop de doses sur le marché et que pour faire contre-partie, l’appel à tout le monde a été lancé s’il en restait en fin de journée.
Ayant compris cela, l’enfant majeur domicilié ailleurs demande à son médecin qui le connaît bien sa dose pour être plus tranquille.
Que nenni mon ami, il n’a pas le droit de déroger à la hiérarchie nationale.
Ce ne sont que les vaccinodrôme qui peuvent le faire.
Et, bien, comme par hasard, il n’y a pas de places là où ils se trouvent.
Comme cela , les journalistes peuvent se permettre par un jeu de bande de billard bien français, que les français ne veulent pas se faire vacciner.
Cela ne correspond pas à la réalité ? Peu importe, cela fait vendre et rempli bien mieux les pages et heures d’antenne à ne plus fini.
Il faut bien que pubs tombent pour vivre.