Je crois bien qu’ils sont fous

Vu très récemment, un documentaire qui fait tache sur les asiles, heu pardon, les hôpitaux psychiatriques et autres maisons closes.

Le plus débectant est cette attitude arrogante d’un directeur de soi-même tellement narcissique qu’à par sa haute personne de haut fonctionnaire, il est capable de mettre sur le même niveau les impératifs économiques, ceux politiques et les urgences de soins de tous les jours de ces malades qui n’ont pas demandés à l’être.

Il s’en fout.

Ou plutôt, il aurait bien aimé que ces être lui laissent la tâche facile de vivre dignement sa grande carrière de grand haut peut-être un jour futur ministre de sa santé comme celle qui était présente au débat.

Cette dernière ayant bien appris de l’illuminé, sa leçon, a dit de façon forte gaullienne qu’elle avait bien compris les misères des malades et familles accompagnatrices d’une misère digne d’un roman à la Zola qu’elle n’a pu constater son état d’une errance aveugle de 30 ans de pouvoirs alors qu’elle n’était même pas née.

Elle a pris bien soin, ainsi soit-il, de faire remarquer en rappelant que ce n’était pas sa faute à elle si à l’hosto cela ne marche pas.

Sans nous le faire faire, tout en nous le faisant comprendre, cela aurait été beaucoup mieux si l’on avait accepté de laisser le gâteau au privé.

Tenez, il existe en pays frontalier, ayant la bonne idée de conserver le français en langue parlé, des maisons très hospitalières parfaitement adaptées.

Leur prix de séjour pour les gens du cru du pays est de 30 à 60€/jour.

Et pour les touristes français venus en goguette, ce sera 150€ grâce aux subsides de l’état qui entend ainsi s’en débarrasser.

Ainsi va la vie, l’euro n’a pas toujours la même valeur selon les endroits où l’on les dépense.

L’on comprend mieux pourquoi certaines vedettes et patrons y vont retrouver refuge d’une boîte postale bien hospitalière…

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