J’assume

Notre impérieux n’est pas comme Ponce Pilate, il ne se lave pas les mains de ses propos qu’il assume entièrement sur le fond mais dont il réserve le terme exprimé uniquement à son domaine privé, lui le type public ; c’est du moins ce que veut nous faire croire son porte-parole pas déguisé.

Ainsi, il y aurait deux Macrons : l’un qui se fait comprendre par les gens intelligents, l’autre qui n’arrive pas à se faire entendre des mécréants à qui il a par ailleurs donné certains adjectifs de sa sphère privé.

A ce rythme il va devenir shi…terme que j’emploie uniquement pour mes amis hors caméra embarqué téléphoniquement.

Donc, si nous avons bien compris ce nouveau tour de bento, il pensait ce qu’il avait dit, mais il ne voulait pas le dire ainsi.

C’est du pareil au même du faire-savoir et savoir-faire, mais à l’inverse et vice versa.

C’est un peu comme l’un de ses prédécesseurs qui nous vendait que ce n’était pas du jeu que de dire des choses vraies à l’insu de son plein juste gré enregistré par des gens dont la vilenie est cent fois plus perverse que la sienne.

Et, in fine, ni vu, donc pas pris, je t’enfume et t’embrouille et continue à te racketter pendant que tu perds ton temps à chercher à comprendre ce que mot veut bien vouloir dire en bouche présidentielle.

Mais est-ce que l’art nouveau de faire de la politique nouvelle autrement, nous permet à nous pauvre citoyen, un peu plus mortel, de dire n’importe quoi comme le ferait n’importe quel élu de base ou non ? Mais si l’on parlait franchement, M. l’impérieux, quel langage les amis routiers d’un syndicat qui ne l’est pas avec son chef de bande, ont-ils utilisé pour mieux se faire entendre ?

Hé, Manu, tu descends ???

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