J’ai de la peine…

Une famille déjà angoissée par une fortune mal héritée risque de voir cette dernière amputée par une volonté européenne de ne pas dépenser pour leur compte.

Une autre famille angoissée par le manque, risque la dérive d’avoir trop nagé dans les eaux sulfureuses de l’avoir national, quoiqu’il ne s’agisse pas de la piscine d’un autre sulfureux.

Et voilà que le meilleur ami de droit dans ses bottes, trop chargées qu’elles n’ont pût l’emmener plus loin, se rallie à sire bancaire sans doute pour l’embourber un peu plus dans un centrisme mou que les français ne veulent pas.

Mais à quoi donc jouent-ils tous ces cadors de la haute politique ?

Voilà maintenant qu’ils ont décidé avec la complicité des media méritants de faire leur show à 6 laissant pantois d’autres dont on ne sait où ils iront prêcher leurs bonnes paroles.

Leur vision démocratique ne s’attarde pas au plus grand nombre mais demeure pile poil au niveau de leur nombril dont pour certain l’on pourrait deviner le restant d’un cordon d’une famille déliquescente.

Et pour aviver ma peine, d’entendre dire des auditeurs d’une grande radio, dont le siège est en France, mais néanmoins d’un pays limitrophe, que c’est tout de même bizarre (vous avez dit ?) que les affaires apparaissent au moment des élections…c’est vrai quoi, l’on peut réquisitionner sans vergogne les biens publics mais il s’agirait de ne point perturber la bonne marche messianique de ces gens-là.

Mais prenez votre jeune voisin qui n’a pu se défaire de pot rempli de ses doigts et se retrouve illico presto en tôle : il y a voleur et voleur. Un truand n’est méchant que s’il sort des frontières des bons compromis.

Mais, pour en revenir à ma peine, madame, je me demande pour qui j’irai bien porter ma part de vote ; mais est-ce bien le débat ??

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