Isolation thermique

Isoler son bien à soi c’est important pour la planète qui ne peut être ainsi dilapidée, mais aussi pour soulager son portefeuille.

Ainsi, remplacer ses vieux radiateurs électriques par une Pompe à chaleur, c’est pratiquement le loto garanti puisque votre facture, de chauffage, pas d’électricité, va baisser d’au moins 50 %; lu et approuvé.

Et si vous avez eu l’audace d’y ajouter l’isolation de vos combles, bingo, à vous les bons restos.

Si elles sont perdue, l’injection de matière isolante sur le plancher est une solution qui vous assure un bon retour sur investissement.

Mais gare à ce fameux ratio, s’il vous venait de privilégier les fenêtres, sachez que le gain ne sera que de 10 % au mieux.

Mais si vous rajoutez l’intérêt de l’isolation phonique, vous pouvez vous laisser tenter.

Attention toutefois à ne pas tomber sur des entreprises peu sérieuses où l’incompétence se dispute parfois avec la malhonnêteté.

Ainsi, a-t-il fallu attendre une longue année pour obtenir un dimensionnement correct du système pompe à chaleur.

Mais encore y-a-t-il à redire.

Par température extérieur à 10°, la Pac programmée à 18°, l’ensemble de l’habitat est (sur(chauffé à 22°.

bien sur l’économie est encore plus forte, mais pas moyen d’obtenir une ambiance tempérée à votre envie.

Lorsque la température extérieure est à -5°, la programmation à 23°, vous obtenez tout juste 20°.

Dans les faits, il faut à la vérité avouer que tout cela dépend entièrement de la configuration de vos locaux.

Aussi l’appel à un expert est d’une intelligence rare, mais bien plus coûteuse et un RIO beaucoup plus long.

Une bonne solution est de profiter d’un besoin de ravalement pour y appliquer une dose d’isolation extérieure vous évitant ainsi de réduire l’espace interne.

Mais là encore bonjour les dépenses.

Et ce ne sont pas les aides de toutes sortes qui vous sortiront de ce mauvais pas qui pourrait bien vous faire trébucher car si elles sont au top c’est que vous n’avez pas les moyens de vous la payer.

Et quand vous les avez vous n’avez pratiquement plus de droits ; à méditer…