L’appareil se compose du scanner lui-même qui peut être utilisé de manière autonome et qui suffisamment petit pour être emporté dans sa serviette.
Avant de pouvoir l’utiliser, il y a une petite préparation.
En premier lieu, retirer toutes les protections et fixer le bloc scanner sur sa base.
Effectivement, ce scanner se fixe sur une base qui le transforme en machine de bureau avec un introducteur de feuilles pouvant accepter jusqu’à 50 feuilles.
Ensuite, il reste à installer les logiciels et pilotes sur un ordinateur (PC ou Mac).
Enfin brancher le scanner. Il y a une alimentation électrique et un câble USB.
Ce qui est remarquable avec IRIScan pro 3 cloud, est qu’il s’agit d’un scanner recto-verso. Envoyant la machine, je me suis demandé s’il n’y avait une erreur. Je ne comprenais pas comment le recto-verso pouvait se faire avec un si petit chargeur de feuilles.
Ici, rien de tout cela. En fait, cet appareil n’intègre pas 1 mais 2 scanners !
Donc, lorsque l’IRIScan attrape la page et il est capable de numériser, simultanément les 2 faces de la page.
Ça présente au moins 2 avantages :
– Il n’y a pas de gros chargeur qui va faire faire de la gymnastique aux pages pour les retourner,
– La numérisation d’un recto ou d’un recto-verso prend le même temps.
Il y a un sens, naturel, sur la manière de présenter les pages dans le chargeur, la face blanche des pages vers soit (sauf s’il s’agit de pages imprimées recto-verso). Mais, ce n’est pas primordial, le pilote du scanner a une fonction lui permettant de détecter de quel côté la page est imprimée. C’est très pratique.
Au sujet du pilote du scanner, il est permet des définitions entre 200 et 600 dpi, en N & B, niveaux de gris et couleurs.
Sur le plan de l’utilisation, le scanner a une petite molette qui sert à l’éteindre et qui 6 positions. Effectivement, il est possible de numériser en envoyant automatiquement le résultat dans un cloud, en pièce joint pour un mail, vers un logiciel OCR,…
Les pages sont, automatiquement, numérisées et le traitement paramétré est exécuté.
Bien que IRIScan soit fourni avec un excellent logiciel d’OCR, « Readiris », il peut parfaitement remplacer un scanner et s’intégrer dans un environnement logiciel existant. J’ai fait le test avec un autre logiciel d’OCR, une fois le pilote du scanner installé, le scanner est parfaitement reconnu.
Mais rien n’empêche en installant IRISCan pro 3 cloud, de paramétrer les anciens logiciels d’OCR et d’installer Readiris. Comme cela chacun à le choix et peux rester sur l’acquis ou évoluer.
Ce modèle, comme les autres scanners IRIS, à la possibilité de numériser les cartes de visite, il est d’ailleurs fourni avec le logiciel Cardiris.
Readiris et Cardiris sont des logiciels très complets qui feront l’objet de tests ultérieurement.
Grâce à sa rapidité et à sa fiabilité, l’IRIScan pro 3 cloud sera parfait dans une petite entreprise. Effectivement, dans une petite entreprise, il faut du matériel qui soit fiable, le matériel est rarement acheté en plusieurs exemplaires.
Mais, l’IRIScan pro 3 cloud sera aussi utile dans les grandes entreprises, en en installant par petits groupes de travail. Ce sera plus efficace qu’un seul gros scanner pour un grand groupe de travail. C’est une solution qui vaut la peine d’être essayée et probablement adoptée.
En tous les cas, personnellement, c’est un modèle de scanner que j’ai adopté et j’utilise au quotidien.