Un investissement qui ne se refuse pas
Une invite d’investissement en Île Maurice ça ne se refuse pas. Surtout pour quelques petits 1 320 000€ – à moins ce n’est plus drôle – d’un penthouse sur toit avec piscine débordante, pauvre voisin du dessous, mais justement il est inférieur alors dans la hiérarchie mauricienne et d’ailleurs on s’en fout.
Je prends dès lors que j’ai les sous M. Le Banquier gentil qui n’a pas qu’un œil.
Mais, tout de même l’impression d’aller dans le MUR puisqu’il est proposé Stau de résident mauricien.
Je n’y comprends pas même mon correcteur supérieur, alors pour ce prix, l’on peut s’attendre à de la vraie qualité, je passerais donc l’avion au-dessus de cette future résidence pour évasion d’Isf.
Un supérieur international du portage de colis nous déclare, entre deux séquences filmées d’un téléfilm ou évasion sportive, qu’il fait tout, mais reconnaît qu’il reste à faire, pour réunir le monde à portée de ses pneus.
Mais comment le croire lorsque l’on sait les salaires versés ?
J’angoisse pas de nouvelle de notre nouvel ami à la baballe qui monte qui monte comme ses actions ; pas plus d’ailleurs que notre impérieux qui pourtant avait silencieusement pris mesure pour changer radicalement sa communication considérée comme mauvaise.
Pas de sa faute à lui, mais de l’autre la petite fusible qui a pété un plomb.
C’est bien embêtant ça, à un tel niveau supérieur, de ne pas respecter les normes électriciennes de notre si belle France éclairée. Peut-on dire de cette demoiselle qu’elle est une gazelle tant son pas est léger aérien qu’elle semble ne pas toucher le sol, sans se faire traiter de machisme racisme débonnaire déplacé ?
Pourtant quelque soit la sentence, je maintiendrai mon propos mais ferai bien loin, et plus encore, la distance tellement que pour l’attendre je patienterai à l’arrivée qu’elle finisse enfin son dernier tour de cloche dont je n’aurais même pas envisagé de commencer le premier.