Insultant

Déjà que l’on avait eu droit à un 14 juillet d’envahisseurs, le veille les allemands qui font conseil de ministres avec les nôtres et ce n’est pas la venue de nos anciens libérateurs dont la poigne est désormais célèbre qui allait nous empêcher d’être en marche, puisque tous les représentants de nos petits soldats toutes catégories, en l’air en terre, en mer, en auto et plus encore en commando.

Et voilà que la fête a peine terminée, sans eau pour la baraka de notre petit aiglon impérieux, que son valet majordome de ses armées s’en va faire un tour ailleurs histoire de voir s’il y fait meilleur.

Mais notre impérial seigneur roi fier comme un propriétaire de bar-tabac qui a toujours raison s’en allé serrer fortement, comme il en a désormais pris l’habitude, la pince au prince des lacets qu’il était obligé d’en faire autant avec l’exilé du brexit 1er.

Voilà pas que ce dernier s’entête à rester le roi de la petite reine et notre brave petit français conquérant comme tout qui devait faire voir ce que l’on aurait voulu voir, s’est exclu de lui-même du second rôle qu’il jouait. Espérons que par la suite il ne revendiquera pas à sortit su tiers état.

Et pendant ce temps-là de plus en plus d’un soleil absent, nos bleues au féminin, comme elles disent, se font mettre sur une mi-temps la nique sur la moitié de la partie mal engagée.

Mais qui respecter ?

Heureusement que les vaillantes ont compris leur gentil qui n’est pas l’aiglon, que pour une qualif mieux valait gagner sinon le gain était retour à la maison fissa vite fait.

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