Et voilà que la fête a peine terminée, sans eau pour la baraka de notre petit aiglon impérieux, que son valet majordome de ses armées s’en va faire un tour ailleurs histoire de voir s’il y fait meilleur.
Mais notre impérial seigneur roi fier comme un propriétaire de bar-tabac qui a toujours raison s’en allé serrer fortement, comme il en a désormais pris l’habitude, la pince au prince des lacets qu’il était obligé d’en faire autant avec l’exilé du brexit 1er.
Voilà pas que ce dernier s’entête à rester le roi de la petite reine et notre brave petit français conquérant comme tout qui devait faire voir ce que l’on aurait voulu voir, s’est exclu de lui-même du second rôle qu’il jouait. Espérons que par la suite il ne revendiquera pas à sortit su tiers état.
Et pendant ce temps-là de plus en plus d’un soleil absent, nos bleues au féminin, comme elles disent, se font mettre sur une mi-temps la nique sur la moitié de la partie mal engagée.
Mais qui respecter ?
Heureusement que les vaillantes ont compris leur gentil qui n’est pas l’aiglon, que pour une qualif mieux valait gagner sinon le gain était retour à la maison fissa vite fait.