Informés vous êtes

Dans les newletters, reçues comme à chaque jour, peu voire pratiquement aucune information sur la fête à l’illuminé.

A croire que c’était bien plus sympa de parler des casseurs muguet au lacrymogènes.

Seulement 400 000 manifestants selon un comptage réalisé par des indépendants qui ne sont pas indépendantistes pour autant.

Avec sa verve habituelle le leader maximilo français a lui parlé de marée humaine ; mais, bon ce n’était pas non plus la grande marée du siècle.

Peut-être que c’est pour cela que personne ne l’a crié sur les pavés restés sagement en place pour la venue des futurs coureurs cyclistes.

Par conte ce qui est vraiment intéressant c’est de voir tirer un bilan de l’activité de cet illuminé qui se croit président de tous les français en chair et en os.

Il est vrai qu’ils l’ont bien élu, il faut maintenant un bon retour sur investissement.

Certains applaudissent comme ils le peuvent de leurs deux mains enchanteur(e)s pleines de leurs cinq doigts chacune.

D’autres doutent de la réalité de l’importance positive de l’action menée tambour battant contre les hordes des plus pauvres et leurs suiveurs immédiat de classe moyenne.

Sans pour autant aller jusqu’à une attitude négative qui les rendraient extrêmes.

Pourtant à voir la courbe du chômage l’on peut comprendre le débat.

Tout d’abord si l’on observe la brusque remontée des années passées, c’est essentiellement du à l’application du RSA et la première réforme de ce nom du régime au pain et à l’eau des retraites car cela a fait remonter les hordes de ceux que l’on espérait ne plus voir.

Mais, cette courbe persistant à monter monter comme la petit bébête qui ne cesse de gratter, la tendance a voulu ne prendre que la courbe Insee obtenant ainsi mécaniquement une belle baisse de cette courbe mensongère.

Une, à mettre à l’actif de ce gouvernement, est la géniale invention de ne plus s’intéresser à la courbe donnée naïvement par Pôle emploi qui ne sait pas de quoi il parle, que trimestriellement ; cela laisse un peu plus de temps pour aller brûler un cierge améliorant ainsi les rapports avec le clergé.

Deux pierres d’un coup, que celui qui n’en a jamais jeté une se dénonce.

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