Ils vont, ils viennent

La encore cheffe de l’extrême droite, parricide, aimant les jeunes bobos et les chats, mais toujours pas les migrants, qui n’est plus patronne de ses troupes, se lave les mains des délices donnés par son adversaire aux même opinons.

Cet homme trublion a les même outrances verbales que leur père à tous, amène les voix, lui sert la soupe qu’elle est bonne puisque la faisant passer pour une bonne femme bien fréquentable.

Mais peut-on vraiment entièrement se débarrasser de sa bonne famille qu’elle soit de sang ou de sol ? L’on peut aisément se demander, si par malheur de la France elle devait être élue démocratiquement, si cette dame mettrait des miradors sur les barbelés demandés par la droite extrême pour contrer les migrants désireux de sortir de leur misère voulue par les pays développés comme notre France terre de liberté des Hommes.

Au secours la droite extrême est de retour avec ses équipes n’ayant rien à renier à celles de l’extrême droite représentée par ailleurs.

On attend plus que le suspense de la fausse primaire de gauche et le vrai engagement présidentiable de l’illuminé pour que la fête soit totale.

Cette belle cheffe qui voudrait élargir son royaume, a fortement buter sur son outil de nettoyage.

A-t-elle vérifié la validité de la garantie obligatoire sur ce genre d’engin ? A moins, bien entendu que son usage forcené ait entraîné la rupture du contrat correspondant.

Toujours est-il que dans sa belle volonté d’un retour sur le passé qui n’avait rien donné, elle n’augure pas d’un avenir reluisant.

En attendant, l’un voit sa côte monter, tranquillement.

Arrivera-t-il à ses fins en voyant l’impromptue surgir de la naphtaline où on la croyait retirée depuis son dernier essai ? Elle essaie de passer en force en proposant 1,5 du pib français en faveur des jeunes.

Espérons que les vieux sans dent auront toujours de quoi manger dignement.

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