Il avait réussi le casse du siècle. La sardine avait bien bouché le vieux port.
Ce n’était pas une tambouille mais bien la bouillabaisse.
D’un vert, il est devenu solitaire où les mammouths ne cessent d’être étonnés reclus qu’ils sont dans leur caverne.
Désormais, il lui est présenté la caisse vide d’un déficit grand comme son budget.
Il pourra toujours rappeler qu’au niveau national c’est bien plus que 100 %.
Et de toute façon, cette situation lui permet de retourner la table en mettant dos à dos ses prédécesseurs coupables de plutôt avoir défendu leurs intérêts service compris.
Et de critiquer tel ou tel investissement, à faire croire qu’il était étranger en son pays.
S’il peut se permettre de crier à grands cris, coutume locale sur le vieux port et ailleurs en régional, l’un de ses pairs de mer s’oblige à se taire d’un couvre-feu transformé en confinement totalitaire le week-end.
Les écolos ou ceux qui veulent faire genre, sont fous.
Une vraie balle tirée dans leurs pieds, à croire qu’ils veulent rendre l’écologie utile nécessaire mais agréable à vivre.
Ils ne veulent entendre qu’écologie punitive.
A penser qu’il faut croire qu’ils ne veulent pas gouverner pour rester dans leur opposition vindicative.
Pour ces gens là, ce n’est pas, par exemple, priver les autres de viandes.
Mais, c’est donner une alternative.
Car chez eux, l’alternative est qu’il n’y en a pas.
Utiliser son pouvoir de maire pour imposer son diktat idéologique sans concertation aucune, c’est un véritable détournement des votes.
Il ne s’est jamais engagé à supprimer la viande dans les cantines scolaires.
L’alternative serait de proposer un repas avec viande et un plat sans viande remplaçant.
Mais il y a aujourd’hui les gens qui savent et les bouseux qui ne savent pas.
Comme naguère il y avait les sans dent.
Pour ces derniers plus de soucie les prothèses dentaires sont prise en charge à 100 %.