Si vous y regardez bien, les installés dans des sièges jetables de plateaux studio devant gérer leur propre files d’attente d’antenne, il n’y a que pontes auto-proclamés.
Mais surtout un excès de libéraux financiers débitant leur bile nauséabondes comme désormais, chacun le sait, les fous de leur dieu virtuel inondant nos territoires de leur peste virale.
Même s’ils sont parfois accompagnés de braves gens tentant de leur répliquer, la bataille fait rage d’un déséquilibre organisé par les metteurs en antenne chargés de polluer nos cerveaux.
Si vous n’y prenez garde camarades, vous serez aussi atteint intellectuellement que même à côté, la Covid en est malade d’être si impuissantes.
Des voix s’élèvent contre le capharnaüm des discours mondains de ce qu’il convient de faire que je ne ferais pas si j’étais en place de pouvoir.
Mais le pire, c’est l’attrape nigaud, le trompe-l’œil, le vernis de surface utilisés par ces gens là qui vont croire « Je vous ai compris » pour mieux vous arracher le minimum vitale de liberté de votre conscience encore sauvegardée.
Tenez un exemple en mille – Si vous êtes intéressé, je vous laisse ici développer les 999 autres et plus si vous vous décidez – comme cet absurdité des riches qui paieraient trop d’impôts, les pauvres qui ne le sont pas.
Ho effectivement, si l’on regarde la grille tarifaire des taux d’imposition selon la rémunération gagnée, il y a de quoi désespérer.
Il y a de quoi rager.
Mais ; il faut être clair rares sont ceux qui effectivement payent leurs 45 % puisque tout ce qui est en-deça de ce plafond de verre – et non plancher puisque personne en cette terre ne règle plus, les blablaba sur les 50 % et plus sont du pipeau dont j’ai honte d’écouter – est calculé sur un % plus bas.
Rappelez-vous la première dame de France vraiment riche qui ne payait que 8 % de sa plus-value de richesse progressive ; moins qu’un cadre moyen de l’époque non révolue ! A suivre…