Il transforme cet acronyme cachant une réalité bien réelle et concrète en y incorporant du « réinsertion dans la société active ».
Comme si les titulaires de ce minimum pour ne pas mourir, ce qui causerait du chagrin aux bons bourgeois bien planqués, n’avaient pas leur propre vie sociale.
Mais, il est vrai que c’est une main d’œuvre actuellement perdue pour les petits travaux de 1ère ligne à très petites paies que même, ça commence à se savoir dans le Landerneau, certains migrants ne veulent plus faire.
Le seul avenir sérieux proposé comme objectif est d’offrir à ces affreux sans-dent l’avenir radieux d’un smicard à temps partagé lui permettant de vivre en travailleur solidaire pour atteindre péniblement un peu plus que le minimum requis.
Mais, c’est bon pour les statistiques voulant atteindre le plein emploi qui ferait tant de bien à ces politicards de salons dorés sur tranche.
C’est vrai qu’ils avaient déjà réinventé Pôle emploi en Maison du Travail.
En fait, dans la réalité, l’accompagnement sera obligatoire.
Les politiques sont de drôles de gogos qui ne s’assument pas.
Ils veulent être aimés mais en sont empêchés par leur désir plus fort encore de faire carrière ; ce qui suppose prendre les électeurs pour des bouffons.
Déjà nous avions eu l’avantage de celui qui se croit roi en son royaume qui n’est pourtant que bonne République qu’il rejette comme il le fait des syndicats et tout autres représentants du peuple.
L’on pourrait croire pouvoir se retourner vers ce qui sert encore de gauche.
Mais ceux, pour ne prendre qu’eux, de la capitale ne dérogent pas à la règle.
Hier, ils ont demandé l’avis du peuple pour savoir s’il fallait arrêter les trottinettes en libre-service.
Le résultat est sans appel.
Ce service a disparu.
Aujourd’hui, un même type de demande pour la réservation d’une voie en covoiturage.
Le résultat est sans appel.
Ces politiques rejettent le vote des 76 % contre au prétexte que se sont les anti qui votent le plus….
