Il y a…

Comme dans une célèbre chanson d’un chanteur jadis célèbre décédé car, sans doute, le serait-il encore, il y a beaucoup de choses à ramasser dans les extraits d’articles de journaleux ou autres rois de la com.

C’est pareil au royaume du socialisme en déclin.

Les courants ne sont plus alternatifs, ils ont laissé place à des micros partis pour pas grand chose.

Mais le centre de ces intentions de gauche, décidé à survivre malgré tout, se déchire sur la meilleure manière de filocher.

Faut-il continuer à tirer sur ce qui était un opposant bien sagement assi en fond de classe ou l’utiliser pour tirer parti d’un qui est à bout de souffle.

Il y a de bons immigrants, nouveaux trouvés en faveur de l’actualité que l’on veut sortir, et les mauvais, ceux ayant risqué leur vie sans en demander la permission à l’impérieux qui ne l’était, il faut bien l’avouer, encore en place au trône établi du palais.

Il y a de bons esclaves, ceux dont l’impératif actualisé mérite d’en parler, et c’est très bien pour les concernés, et ceux dont on ne parle pas, notamment en France alors qu’ils sont importés dans les bagages luxueux de hauts immigrants non clandestins mais s’en servant sans vergogne comme des serpillières dont on auraient retiré l’identité comme tout produits de contrefaçon.

Pendant ce temps, s’il y a des gens qui ont des emplois bien payés sans exercer quoique ce soit, d’autres logeant des logements dont les loyers défient toute concurrence même étrangère déportée, il y a des patrons d’unités publiques logés encore plus luxueusement dans des cocons bien dorés qui leur faire dire qu’il ne faut pas rechercher place mieux placée.

Si vous faites appel à un célèbre loueur de taxis en toute indépendance, sachez que vos données pourront ête autrement livrées et que les possesseurs seront grassement payés pour ne point faire éclater la bombe à retardement qui va avec, et encore ne s’agit-il pas de vulgaires terroristes en haut d’une grue.

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