Ce n’est pas dit ouvertement, mais si on lit bien, les urgentistes sont accusés de conserver des patients qui pourraient aller en circulation autre part.
Ainsi, le mode de rémunération ne serait plus portée sur l’activité, mais la qualité de la prise en charge.
Donc, il est révélé que les bouchons d’embouteillage sont le fait des belligérants eux-même ; circulez, il n’y a plus rien à voir.
Bel exemple de reprise en main laissant ko l’adversaire du moment.
Il n’est plus, il n’a jamais été, question de mettre des lits supplémentaires.
Il faut simplement mieux gérer l’occupation de ceux existant.
Est-ce que la couchette à deux en quinconce a été essayée ? 700 millions sont annoncés, mais infine, il s’agit de redéploiement car là encore, l’on va prendre ailleurs ce qui est donné ici.
Les meures anti-agression, valorisation des soignants sont jetés aux oubliettes des oublis gouvernementaux.
Sans doute que les deux rapporteurs d’été n’ont rien remarqué d’urgent durant cette période vacancière où les gens venaient, at d’ailleurs repartaient, pour bénéficier de la clim.
Sans doute les seuls incidents remontés sont-ils du aux défaillances de ladite clim ; à vérifier.
Certains, disent que le rapport rendu a été précipité.
C’est toujours le souci avec les urgence où il faut décider dans les secondes qui suivent de la vie ou la mort d’un pressé.
En voilà un autre d’élu député qui dans son urgence se fait rembourser des frais deux fois par deux organismes différents.
On ne va pas en faire un plat de ces dépenses futiles de frais de restaurant.
Cela me rappelle certains administrateurs d’une mutuelle vraiment sociale qui se faisait rembourses leurs transport, hôtel et restaurant pas cette assurance et leur syndicat voir mutuelle maladie dont ils étaient les éminents représentants..
