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Il n’y a pas grand-chose à attendre de la COP 25 qui se tiendra en Décembre 

Cette réunion est actuellement organisée en toute hâte par l’Espagne à Madrid, pour se substituer à la défection du Chili pour des problèmes internes, un désistement annoncé in extremis.  

Les délègués et observateurs y gagneront en agrément, même si le climat à Madrid, qui est situé dans une cuvette, n’est pas toujours très agréable, en cette saison. 

Mais revenons aux objectifs de cette COP, qui réunit les délégués des Etats signataires du traité de Paris de 2015 sur le climat, qui en doit initier, comme les trois précédentes, sa mise en œuvre.. 

Le monde est dominé par 4 groupes aux intérêts divergents, les deux pays les plus peuplés du monde, la Chine et l’Inde qui cherchent à rattraper les pays développés, les EtatsUnis, la première puissance économique du monde, qui s’est mis au ban de la société par la décision de son président de se retirer du traité de Paris et de l’Union européenne, qui fait ce qu’elle peut. 

Pendant ce temps, c’est dans le désordre le plus complet que les émissions de gaz effet de serre, à l’origine du dérèglement climatique progressent au lieu de diminuer. 

Cette situation, qui ne se maitrise plus, se serait terminée, si elle avait eu lieu au milieu du 20ème siècle, par une guerre mondiale, rendue désormais impossible depuis le développement l’arme nucléaire, qui dépeuplerait la terre. 

Cependant, cela risque d’arriver si l’on ne met pas fin, à temps au réchauffement climatique. 

Pour le moment, le monde n’est pas encore mur pour entendre sonner, malgré les avertissements qui se multiplient, la « vingt cinquième heure » qui se prépare. 

Le moment viendra, avec la multiplication et le renforcement des catastrophes climatiques, qui nous assaillent déjà où il faudra agir en catastrophe, avant qu’il ne soit trop tard, avant que les mauvaises langues puissent dire On vous l’avait bien dit 

Judex

Judex est un juriste de la vielle école qui a fait sienne la maxime du professeur Léon Mazeaud, son président de thèse de doctorat , "Que le droit ne s’apprend pas mais se comprend "  en ajoutant " à la condition d’avoir, si possible, l’intelligence du droit "

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