Il n’y a pas de menteur, uniquement des gens qui y croient

Le préfet concerné (?) l’avait prédit, après consultation des images laissant voir une femme choir sur la chaussée, qu’aucun policier n’était concerné par ce dramatique accident.

Mauvaise pioche puisque dans la réalité des faits qui n’ont pu être tus, un policier est reconnu même habillé de noir comme tous.

Mais, après tout, peut-être bien avait-il parfaitement raison, puisque le coupable ne se sent pas responsable.

Et, il a certainement raison puisque la dame s’était rendue sans raison à une manif interdite et que son grand patron l’avait prédit que ceux qui iraient le ferait sous leur responsabilité puisqu’ils ne devaient pas y aller.

Gouverner autrement, c’est la faire avec raison, pas sans dommages collatéraux prévisibles.

Et en tout franchise, personne ne pourra dire qu’il n’avait pas été prévenu préalablement.

Or qui est responsable de la dame tombée qui savait que cela pouvait se faire et de l’homme qui l’a fait sous ordre de foncer dans le tas sans discernement ? Le encore actuel ministre de l’économie d’un gouvernement qui s’est refait une jeunesse après le départ précipité de lassés préférant voir leur avenir ailleurs, a répondu sèchement à l’ancien président qui a la faveur de sa tournée des grands ducs se croit obliger de critiquer pour être vivant.

Je retiendrai une chose de ce retour de boomerang tu l’as bien cherché ; c’est que si l’ancien avait mené une autre politique, il n’y aurait pas eu de gilets jaunes.

Certes, peut-être, et peut-être aussi, n’y aurait-il pas eu un jeune loup au canines incisives rayant le parquet ayant raflé la mise la mise et s’étant empressé de redistribuer comme il l’avait appris dans son beau métier de banquier : l’argent va aux riches, il doit leur être restitué.

Et la rafle opérée sur le capital financier des aides sociales se doivent d’être rabotées afin de baisser les impôts et cotisations sociales pour amoindrir toute illusion de solidarité sociétale.

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